Comment la conscience solaire, le "Moi", va-t-il gérer son rapport (directement vécu en Conjonction) à l'infini, à la globalité, au fusionnel, à la foi, à l'abandon à des forces qui le dépassent et tendent à sa dissolution?...
Qu'est-ce qui nous définit, qui nous permet de dire: "Cela est Moi", quand Neptune nous fait pressentir la futilité de nos croyances dans une existence individuelle et égotique, à laquelle nous essayons en vain de nous accrocher...
Notre carte d'identité se noie et se dissoud dans l'océan...
Neptune au Soleil nous ouvre à la perception de notre vraie nature de poussière, d'atome fondu dans la danse de l'univers, nous fait percevoir sourdement (et parfois de façon aigüe, au cours de "révélations" spirituelles) notre identité cosmique.
Dans cette configuration, notre Soleil perd son centre de gravité, son point d'ancrage.
Nous pouvons être "ce que nous voulons", à partir du moment où nous renonçons à vouloir représenter une image particulière dans laquelle nous pourrions nous reconnaître!
Envahis par notre "vastitude", par la conscience de notre appartenance à un "égo divin", une structure rayonnante universelle et sans limites, nous sommes capables d'endosser tous les rôles, de jouer tous les jeux illusoires du monde...
Dans cette configuration, l'être solaire est destiné à se transcender, à exprimer sa nature universelle. Union dans l'amour sans frontières.
Le don de Soi, la faculté de se perdre, de se fondre dans quelque chose de plus vaste, de moins limité, nous ouvre toutes les portes, nous permet d'accéder à tous les milieux, à tous les postes.
Nous nous imprégnons du monde, nous le "buvons", et nous "devenons" aussitôt ce que nous désirons être au sein de ce qui nous entoure.
Avec cet aspect, nous pouvons devenir créateurs de rêves et d'illusions.
Source: Cymer
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(Classement par Maisons... Très parlant) :
Dino De Laurentiis ( Lion - II) -
Johannes Vermeer (Scorpion - II) -
Franck Dubosc (Scorpion - II) -
Érasme (Scorpion - II) - Fidel Castro (Lion - III) -
Geneviève de Fontenay (Vierge - III) -
Sophie Marceau (Scorpion - III) -
Louis Pasteur (Capricorne - III) -
Thomas Edison (Verseau - III) -
Jean-Jacques Goldman (Balance - III/IV) - Assassinat de John Lennon (Sagittaire - IV) -
Jean-Jacques Annaud (Balance - V) -
Marcel Cerdan (Lion - VI) -
Sigourney Weaver (Balance - VI) -
Bernard Lavilliers (Balance - VI) -
Florence Arthaud (Scorpion - VI) -
Ken Kesey (Vierge - VII) -
Catherine Ribeiro (Vierge - VII) -
Guy Gilbert (Vierge - VII) -
Brian de Palma ( Vierge - VII) -
Julien Clerc (Balance - VII) -
Sean Connery (Vierge - VII/VIII) -
Jean Moulin (Gémeaux - VIII) -
Madame Soleil (Cancer - VIII) -
Demi Moore (Scorpion - VIII) -
George Orwell (Cancer - VIII/IX) -
Jean Poiret (Lion - IX) -
Marielle Goitschel (Balance - IX) -
Paul Ricard (Cancer - X) -
Bourvil (Lion - X) -
Albert Desalvo ( Vierge - X) -
Florent Pagny (Scorpion - X) -
Maurits Cornelis Escher (Gémeaux - XI) -
Manitas de Plata ( Lion - XI) -
Michel Rocard (Vierge - XI) -
Linda McCartney (Vierge/Balance - XI) -
Jean-Luc Ponty (Vierge/Balance - XI) -
Francis Perrin (Balance - XI) -
Michael Douglas (Balance - XI) -
Julio Iglesias (Balance - XI) -
Louis Pauwels (Lion - XI/XII) -
Landru (Bélier - XII) -
Teilhard de Chardin (Taureau - XII) -
France Gall (Balance - XII) -
Nicolas Canteloup (Scorpion - XII) -
Stéphane Bern (Scorpion - XII) -
Leopold von Sacher-Masoch (Verseau - XII)
:
( ... devant):
( ... devant):
Quand notre Soleil intérieur est touché par une planète transsaturnienne, il est amené à évoluer sur des plans bien vastes, mais toujours profonds et incontournables.
La grande question s'élève alors, en aspect difficile entre notre Soleil et Neptune, est-ce la réalité ou une illusion complète?
Est-ce que c'est une personne de foi et de cœur, ou un délinquant insoignable?
Est-ce que mes envies sont celles que je ressens, ou bien suis-je touché par des envies qui ne sont pas les miennes, mais celles de ma société, des amis, des parents, ou même des êtres créés de toutes pièce par la télévision ou les jeux vidéo?
Telles sont les grandes questions de cet aspect.
Elles trouvent leurs origines dans les recherches des mondes irréalistes et illusoires.
Dans la recherche de soi, que Neptune a mis dans le flou par sa présence.
Dans la recherche de sa propre vérité, de son but de la vie, de sa destinée.
Dans la recherche de la foi qui mènera au salut.
Neptune est une planète bien plus douce, voire insaisissable ou incompréhensible face aux deux autres transsaturniennes, tels que Pluton ou Uranus.
Son aura est tellement fin et doux, comme de l'eau sur la peau, qu'on ne remarque pas forcément son effet sur nous...
Mais quand cette eau prend de l'ampleur, tel le grincement de l'océan, elle paraît prenante jusqu'aux tripes, dévorante, comme une vague de chaleur, de froid, ou de peur qui nous envahie, tout entiers, et nous sommes prisonniers de nos sentiments, de nos envies, nous sommes séparés de notre vraie nature.
En effet, c'est un miroir dans lequel on plonge, un monde parallèle.
Ce n'est pas pour rien que l'on dit que la nuit porte conseil.
Avec Neptune, les personnes cherchent de l'aide à travers leurs rêves, leur imaginaire, un monde créatif ou illusoire, qu'ils se créent autour, et dans lequel ils vivent.
La douceur de Neptune donne à tous ses disciples (que cela soit un aspect harmonieux ou pas) de la sensibilité, du dévouement, de la créativité, de la rêverie, de la sensation et beaucoup d'intuition.
Mais le revers de la médaille est tel que la personne, ayant un aspect compliqué de ces deux planètes, interprète mal ces dons, ne sait pas comment les utiliser à bon escient, trouve son influence trop pesante, et fait des erreurs.
Dans les tréfonds de l'enfance, l'être en devenir a subi, avec un tel aspect, de multiples désillusions.
En souhaitant la bienveillance du père (car le Soleil est l'archétype paternel dans la carte de naissance), l'enfant a du s'adapter, il a du s'inventer un rôle, jouer un personnage illusoire, car il a remarqué que certaines réponses poussaient son père à devenir méchant, ou, au contraire, très gentil.
Alors, pour obtenir le sourire ou, du moins, ne pas être puni, l'enfant s'est adapté, il a caché sa vraie personnalité, ses envies, ses désirs, mêmes inconscients, il les a effacé, pour correspondre à l'image du fils/de la fille parfait(e), au mieux qu'il(elle) a pu.
Ce jeu est resté dans la tête de l'enfant, rendant le monde de l'imaginaire fécond.
Mais ce jeu a aussi laissé des séquelles.
D'abord, la relation au père était illusoire, car l'enfant avait du mal à comprendre ses attentions, ses envies, parfois même ses phrases.
Il a développé une image erronée du père, d'abord en le mettant sur un piédestal, puis en le haïssant profondément ou l'aimant inconditionnellement (avec l'âge de raison).
Ce conditionnement a été basé sur l'image qu'il a eu du père.
Souvent, avec un tel aspect le père est insaisissable, lointain (psychologiquement ou réellement), incompréhensible, trop loin de la réalité (trop dans le travail, ou alors au contraire, trop dans les amusements), imprévisible.
L'enfant alors a développé aussi, à sa manière, toutes ces caractéristiques, ainsi que:
ceux du sacrifice extrême de soi (puisqu'il s'est déjà sacrifié, soi et ses envies, pour plaire à l'autre, cela est évident qu'il se re-sacrifiera dans la vraie vie, sous une autre forme);
ceux de la mauvaise image de soi (car s'il ne fait pas comme les autres souhaitent, on ne va pas l'aimer);
ceux de la difficulté de trouver sa voie à cause de l'influençabilité (entre ce que les autres disent, ce qu'il pense, et ce qu'il ressent, c'est en effet très difficile de trancher);
ceux de la peur devant tout ce qui peut lui arriver (car l'image du père instable ne donne pas un sentiment de protection ou d'assurance, loin de là).
De là viennent les envies de faire partie d'un autre univers, où les contraintes et les peurs de la vie qu'il mène disparaissent.
Par les rêves, l'imaginaire, l'écriture, la chanson, le théâtre, le cinéma, les jeux vidéos, ainsi que des substances illicites, les relations instables, l'ésotérisme, la voyance, l'être est amené à se rendre pour... s'oublier.
Surtout, mener une double vie, coûte que coûte.
Le plus grave, dans cet aspect, est de se mentir à soi-même.
Etre menteur, aimer mentir, aimer vivre des vies parallèles sans gêne (avoir une ou plusieurs maîtresses, gagner de l'argent d'une manière illicite).
Des dépendances peuvent de même s'installer dans des cas vraiment difficiles (avec un thème faible), comme l'attachement à l'alcool, à la drogue, à l'ésotérisme noir, aux sectes pour fuir le mal qui ronge.
Un besoin de se faire du mal par ses substances/affaires peuvent amener vers les situations vraiment tragiques, car ils vont jouer comme des anesthésiants, des aphrodisiaques.
Il est évident que d'autres aspects de rigueur et de réalité peuvent rééquilibrer la personnalité dans un thème puissant (ceux de Saturne par exemple).
Ainsi, les personnes ayant cet aspects peuvent devenir des gens vraiment brillants dans leurs milieu, utilisant leur sensibilité, leur imagination et leur talent à des fins artistiques ou ésotériques.
Le Soleil, l'égo, touché par Neptune, va se dévoiler, se montrer sous les lumières de certaines de ces professions : peintres, musiciens, écrivains, comédiens, médiums, interprètes des rêves.
D'ailleurs, les rêves chez ces personnes là peuvent être comme des guides dans la conscience, sur lesquels ils vont souvent s'appuyer.
Des profondeurs de l'âme peuvent venir les réponses à leurs questions, d'où les hommes ou femmes qui ont un inconscient au service des autres (voyants par exemple).
Dans tous les cas il est pas facile de comprendre ces gens, car même eux-mêmes ont du mal à se comprendre.
Cet aspect peut être comparé à un Soleil affligé en Poissons ou en maison XII par exemple.
Ils sont énigmatiques, sensibles, bizarres, dévoués, mais ils doivent apprendre à gérer leurs dons, à être conscients de ce qu'ils portent en eux pour l'utiliser intelligemment.
Si le Soleil fait un carré ou une opposition à Neptune, et surtout si l'un des deux est maître des maisons de la santé (VI ou XII), la personne peut souffrir de problèmes de vue quelles qu'elles soient, car le Soleil symbolise les yeux et la vue chez la personne.
D'un point de vue symbolique, la personne a du mal à voir (Soleil) ce qui lui fait mal (Neptune) dans le monde qui l'entoure.
Alors, au fur et à mesure de la vie, la problématique psychologique de la sensibilité à la réalité peut se transformer en problèmes physiologiques, problèmes de vues.
Les propriétaires de cet aspect sont souvent des gens de foi, profondément religieux (attention, car le chemin de la croyance peut aussi être semé de gens peu honnêtes qui rodent souvent autour de ces gens sensibles).
Ils ne sont pas forcément pratiquants (Jupiter est plutôt la planète pratiquante en religion), et ce n'est pas forcément en Dieu qu'ils croient, mais ils ont toujours quelque chose sur quoi ils peuvent s'appuyer, où ils peuvent trouver la force d'avancer.
Source:
http://www.la-destinastrologie.com
Le sujet conjugue en principe avec bonheur une conscience vigilante qui l’incite à rester circonspect vis-à-vis des manifestations de l’inconnu, et une sensibilité frémissante à l’égard du subtil, du mystère, de l’inconscient, du sous-jacent des êtres et des choses. Sa quête d’admiration, de reconnaissance ou d’estime publique ne l’empêche pas de rester à l’écoute des mouvements profonds de sa sensibilité. Ses riches états d’âme nourrissent une vision du monde qu’il voudrait claire et évidente, mais dont il se garde bien de chasser les troublants clair-obscurs, les pénombres nuancées et les fertiles ambiguïtés. Ferme sur le maintien des grands modèles, idéaux ou principes, il reste néanmoins proche de l’humain dans sa mouvante diversité. Loyal, généreux, il se voudrait le représentant éclairé d’une vivante universalité qui le dépasse. Il est à la fois intensément impliqué dans ses rôles et propos et le témoin d’un ailleurs étrange et déroutant.
Dissonance équilibrée : le sujet passe alternativement du maintien de ses certitudes (Soleil) à des intuitions incertaines et troublantes (Neptune), sans pouvoir se résoudre à choisir. Selon que l’une ou l’autre fonction domine dans son vécu, il peut adopter les attitudes suivantes :
Si le Soleil domine : le sujet, barricadé dans une logique formelle, anxieux de perdre ses rassurantes certitudes et points de repères, craint par dessus tout les manifestations de l’inconnu, le chant des sirènes ou l’apparition des chimères. Pour rester un modèle de clarté et de rigueur, il se coupe de sa sensibilité profonde, reste obstinément sourd aux ténus signaux de l’inconscient, aux déroutantes intuitions qui parfois le traversent. Il craint de voir se dissoudre la conscience vigilante et exacerbée qu’il a de son individualité dans l’innommable et mouvante réalité de ses complexités internes. Il oppose ses convictions simplistes à la subtilité de l’éprouvé, du ressenti, qui lui paraissent trop vagues et incertains pour être dignes de confiance et d’attention. Il se crispe sur un connu qu’il identifie au rationnel pour conjurer la menaçante irrationalité des êtres et des choses.
Si Neptune domine : le sujet se laisse dominer par la logique imprévisible de ses états d’âme, de ses réactions dictées par l’inconscient, au risque de manquer de points de repères fiables, de certitudes fortes. Le chant des sirènes intérieures ou extérieures l’envoûte, les chimères président à ses conduites et décisions. Obscur, trouble, ambigu, il se complaît dans un indéchiffrable clair-obscur qui le rend imprévisible, incompréhensible, inconséquent. Incapable de s’impliquer dans quoi que ce soit et de respecter une quelconque ligne directrice, il multiplie les faux-fuyants, otage d’un vécu houleux. Réfractaire à tout principe, toute loi, tout modèle régulateur, la dépersonnalisation, la déstructuration de l’individualité guettent cet être en manque de claires perspectives. Il peut éventuellement se laisser tenter par toute idéologie ou croyance tendant à réduire l’individu à une illusoire manifestation d’un ailleurs invérifiable, sans rime ni raison.
Dissonance maîtrisée : le sujet a durement appris qu’il y a un temps pour l’imagination protéiforme et les intuitions ou états d’âme nébuleux et un temps pour le maintien de ses convictions, et sait sans fausse note alterner ces deux fonctions.
Dissonance sublimée : le sujet a délibérément sacrifié toute certitude acquise au nom de la dynamique d’une évolution profonde, ou abdiqué de toute sensibilité à l’étrange ou à l’irrationnel au profit du maintien de modèles sûrs et stables.