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LES ASPECTS

LUNE LUNE / NEPTUNE NEPTUNE

La Lune représente ce qui appartient le plus intimement à notre être incarné, alors que Neptune est précisément la dissolution de cet être incarné, qui a fini son cycle et est prêt à retourner dans le "tout" universel... Une totale opposition de direction (mouvement vers l'intérieur pour la Lune, vers l'extérieur pour Neptune), ainsi que d'objectif (préparer à la vie égotique pour la Lune, et achever sa dissolution pour Neptune), sépare ces deux énergies! La seule chose qui leur est commune, c'est le côté fusionnel qu'elles développent. Fusion avec la mère (donc la Terre, lieu privilégié de l'Incarnation) pour la Lune; fusion avec l'univers pour Neptune.
L'association de ces deux énergies est donc extrêmement forte, et difficilement contrôlable, car peu apte à être gérée par l'être conscient. "L'émotion et le confort tirés par l'être de son attirance pour le non-être"! L'attirance pour le fusionnel est ici décuplée, fragilisant d'emblée les énergies de développement et d'affirmation de l'Ego. La tendance à se perdre, à se laisser glisser dans un monde infini de rêves et de vagues émotionnelles puissantes, est forte. L'intégrité de l'individu est menacée, car il devient entièrement perméable à des courants étranges qui le dépassent en le déstructurant, en effaçant ses repères.
L'attirance pour les drogues est une voie toute naturelle pour vivre dans l'ambiance Lune Neptune.

Notre extrême et vaste sensibilité nous pousse souvent à la compassion vis à vis de toute souffrance, et à la défense de causes écologiques, axées sur la préservation de la terre, de l'éco-système, des animaux, etc...

Le rapport à la mère est particulier. Celle-ci a été ressentie comme trop envahissante ou insaisissable, ce qui ne nous a pas permis d'établir à travers elle une base de sécurité affective stable. En thème féminin, l'image de la femme s'en trouve affectée, elle se situe mal, et a du mal à cerner son rôle de mère et ses limites; en thème masculin, la nature féminine nous échappe...

Dans l'opposition, la mère peut être le révélateur des énergies de Neptune, en étant ressentie comme la chose la plus insaisissable de notre vie. On peut aussi, avec cette configuration, perdre un ou plusieurs enfants (avortement, fausse couche...). L'alcool, les drogues, les stupéfiants, les médicaments, sont rarement absents de la vie des femmes marquées par Lune-Neptune, car l'aspect touche leur nature intime même.
En principe, dans l'opposition, l'effet neptunien ne nous touche pas en propre. C'est souvent un événement extérieur qui met notre sens de la sécurité en question, par la perte d'un être cher, ou d'un milieu où nous avons grandi et où notre mémoire est attachée...

Dans la conjonction, pour une femme, on note cette extraordinaire capacité à s'intégrer à toutes sortes de milieux, à se mettre instinctivement dans une multitude de rôles. Il ne s'agit pas d'opportunisme, mais d'une capacité toute naturelle, sans calcul. Perméabilité aux ambiances. Adhérence instinctive aux courants.

Dans le Carré (Neptune devant), nos investissements émotionnels mènent à des réactions et des situations qui nous dépassent, qui nous restent incompréhensibles qui mettent en question et en danger nos sécurités, notre confort.

Source: Cymer

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: Jennifer Lopez - Justin Timberlake - Dalai Lama XIV - Amy Winehouse *** - Mariah Carey *** - Robert Redford - Caroline de Monaco - Sting - Margaret Thatcher - Arielle Dombasle *** - Jean-Sébastien Bach - Steven Seagal - Bernard Tapie - Dustin Hoffman - Frank Zappa - Nina Hagen - Jean-Jacques Rousseau - Landru - George Orwell - Vassily Kandinsky - Jean-Michel Folon - Apollinaire - Robert Louis Stevenson - Nicolas Dupont-Aignan - Macha Méril - Franco - Laurence Boccolini - Louis Bertignac - Jean-Louis Trintignant - Jack Lemmon - Diderot - Groucho Marx - Albert Schweitzer - Lionel Jospin - Mireille Dumas - Sacha Guitry - Dave - Racine - Ronsard - Django Reinhardt - Fernand Raynaud - Roland Magdane - Peter Ustinov - Dick Rivers - Bruno Masure - Alain Decaux - Pierre Vernier - Jean Carmet - Siné - Jean-Luc Bideau

Jean-Jacques Rousseau: Orphelin de mère très jeune (celle-ci meurt 9 jours après la naissance de Jean-Jacques .), sa vie est marquée par l'errance. Adolescent timide et sensible, il est à la recherche d'une affection féminine qu'il trouve auprès de la baronne de Warens. Il est son "petit", il la nomme "Maman", et devient son factotum.


: Marilyn Monroe *** - Demi Moore *** - Audrey Hepburn - Kadhafi - Billie Holiday *** - Silvio Berlusconi - Jean-Michel Jarre - Nastassja Kinski *** - Jean-Pierre Foucault - Audrey Pulvar - Daniel Auteuil - Michel Serrault - Gary Cooper - Josiane Balasko - Paul Verlaine - Mark Knopfler - Roland Topor - Lova Moor - Lino Ventura *** - Paul Gauguin - François Berléand - Toulouse-Lautrec *** - Sempé - Clovis Cornillac - Alain Chabat - Paco de Lucía - Gérard Jugnot - Natacha Polony - Pascal Légitimus - Guy Gilbert - Georges Marchais - Maurice Chevalier *** - Francis Blanche - Chostakovitch - Al di Meola - Arlo Guthrie - Sam Peckinpah


(Lune devant): Al Pacino - Arnold Schwarzenegger - Bruce Willis - Freud - Beethoven - Michael Douglas - Nicole Garcia - Anthony Hopkins - Yoko Ono - Edgar Allan Poe *** - Tim Burton - Fanny Ardant - Louis XVI - Stanley Kubrick - Bernard-Henri Lévy - Mia Farrow - Daniel Cohn-Bendit - Peter Gabriel - Muriel Robin - Barbara - Sylvia Kristel - Christophe Maé - Olivier Besancenot - Bourvil *** - Demis Roussos - François d'Assise - Nana Mouskouri - Catherine Frot - Fernandel - Christophe - Michel Blanc - Claude Nougaro *** - Éric Charden - Catherine Lara - Valérie Mairesse


(Neptune devant): Julia Roberts - Justin Bieber - Brigitte Bardot *** - Adriana Karembeu *** - Dalí - Claude François *** - Jimmy Page - Patrick Bruel - Marie Trintignant - Tolkien - Nathalie Baye - Ingrid Bergman *** - Alexandra Lamy - Omar Sharif - Romain Duris - Roger Moore - Marie Laforêt *** - Yul Brynner *** - Bernard Kouchner - Richard Anconina - Maxime Le Forestier - Pierre Bellemare - Cabu - Röntgen - Jean Yanne - Philippe Léotard - Dominique Lavanant - Charles de Foucauld

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Comment marier un ensemble global, homogène (Lune) avec la réduction du multiple à une dualité (Neptune) ? Comment faire fonctionner ensemble une réceptivité diffuse et des états d’âme imprévisibles ? Comment faire intimement siennes d’étranges sensations ? 

CONJONCTION _ SEXTILE _ TRIGONE

Le sujet est intimement "branché" sur les sensations en provenance de l’inconscient, du ressenti profond des êtres et des choses. Il vit en symbiose naturelle avec les forces cachées, latentes, subtiles, inévidentes qui affleurent à la surface des réalités concrètes. Réceptif à ce qu’il y a de plus mouvant et complexe dans l’humain et son environnement, il se solidarise instinctivement avec les obscurs possibles qui ne demandent qu’à éclore. Il suit docilement le fil de ses inspirations, de ses rêves, de ses états d’âme, sans se soucier d’être compris. Il se sent l’habitant-habité d’une plus vaste dimension dont il témoigne à sa manière, par sa logique étrange, ses riches ambiguïtés, et son sens intuitif des situations. Il a le flair de l’invisible, des incertaines émergences, des courants souterrains qui ne demandent qu’à irriguer et métamorphoser le quotidien.

CONJONCTION _ CARRÉ _ OPPOSITION

Dissonance équilibrée : le sujet passe alternativement des états d’âme déstabilisants (Neptune) à l’intimité reposante (Lune), sans pouvoir se résoudre à choisir. Selon que l’une ou l’autre fonction domine dans son vécu, il peut adopter les attitudes suivantes :

Si la Lune domine : le sujet cherche à protéger la "bulle"sécurisante de ses habitudes, de ses familiarités, de ses routines douillettes contre l’irruption de toute lame de fond existentielle. Il craint de se retrouver le jouet de circonstances imprévisibles, d’être soulevé et bouleversé par une houle intérieure ou extérieure qui mettrait à mal les us et coutumes rassurantes de son univers intime. Il préfère se couper de sa réceptivité à l’étrange, au subtil, au sous-jacent, plutôt que d’avoir à se mettre à l’écoute de ses voix intérieures, qu’il considère comme de dangereuses sirènes. Les états d’âme le perturbent intimement. Il s’inquiète des situations incompréhensibles, des remous profonds qui agitent sa sensibilité, y voyant autant d’ennemis menaçants pour la quiétude primaire et satisfaite dont il préfère faire son pain quotidien.

Si Neptune domine : le sujet est sans cesse la proie d’états d’âme, d’aspirations profondes ou d’engouements incompréhensibles qui lui interdisent tout bien être, toute quiétude, tout abandon confiant. Il ne s’appartient pas : il est toujours ailleurs, remué et bouleversé par des sensations grisantes, des projets flous à la réussite improbable. Son vécu désorienté et désorientant semble être sous la gouverne d’imprévisibles impulsions sans but ni cohérence. Il vit son présent incertain comme il advient, tumultueux et insaisissable, sans parvenir jamais à s’habituer à quoi que ce soit. Il lui faut impérativement l’ivresse et l’exaltation que procurent les expériences insensées, quitte à y sacrifier bien-être et harmonie. Les tourbillons de l’indicible, le hors-soi et ses vertiges tentent de fuir les banalités d’un quotidien intimiste mais sans âme.

Dissonance maîtrisée : le sujet a durement appris qu’il y a un temps pour le vertige des sensations inconnues et un temps pour l’intimité reposante, et sait sans fausse note alterner ces deux fonctions.

Dissonance sublimée : le sujet a délibérément sacrifié toute intimité reposante au nom du vécu d’une autre dimension de l’être, ou abdiqué de tout désir de vivre ses aspirations profondes au profit d’une harmonieuse quiétude.

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Remonter Claude Nougaro: Il est élevé par ses grands-parents paternels.


Remonter Edgar Allan Poe: Né à Boston, Edgar Allan Poe perd ses parents dans sa petite enfance ; il est recueilli par John et Frances Allan en Virginie, où il passe l’essentiel de ses jeunes années. [...] Son épouse Virginia meurt de la tuberculose en 1847. Poe envisage de se remarier, mais aucun projet ne se réalisera. En 1849, Poe meurt à l’âge de 40 ans. Les causes de sa mort n’ont pas pu être déterminées et ont été attribuées diversement à l’alcool, à une drogue, au choléra, à la rage, à une maladie du cœur, à une congestion cérébrale, etc.Le frère d'Edgar, né en 1807, mourra à l'âge de 24 ans, alcoolique et tuberculeux, tandis que sa sœur, Rosalie, contractera à douze ans une maladie inconnue, peut-être une méningite, qui la laissera handicapée mentale et nécessitera une mise sous tutelle durant toute sa vie. Sa mère Elizabeth est emportée par le mal qui la ronge, peut-être la, à l'âge de 24 ans, laissant ses enfants orphelins.  Edgar est recueilli par un couple de riches négociants de tabac et de denrées coloniales. La Bible occupe une grande place dans la vie d'Edgar. En 1818, sa mère adoptive, dont la santé a toujours été fragile, tombe sérieusement malade, ce qui a pour effet de la rendre nerveuse, irritable. Par ailleurs, en 1819, son père adoptif John Allan connaît de graves ennuis financiers : la bourse de tabac s'effondre, puis un employé l'escroque. Le jeune Edgar, qui est séparé de sa famille, fait une première fugue. [...] Les relations avec ses parents adoptifs sont ambivalentes. Il est encouragé par sa mère dans ses travaux d'écritures, mais les tours qu'il joue à certains habitants de Richmond causent le désespoir de son père. Ce dernier prend ombrage du caractère assez fier de l'adolescent, et s'éloigne progressivement de son épouse, toujours malade. Edgar, très attaché à elle, réprouve l'adultère de son père adoptif. [...] En 1829, Frances Keeling Allan meurt. Prévenu tardivement, Edgar n'arrive que le soir du jour des funérailles de cette mère tant aimée.  Allan séjourne auprès de sa tante Maria Clemm, sœur cadette de son père, qui a perdu son mari en 1826 et vit dans un extrême dénuement, entourée de sa mère impotente, Elizabeth Cairnes Poe, d'un fils tuberculeux, et de deux filles. Il épouse clandestinement sa cousine Virginia en 1835, puis publiquement en 1836, et la jeune fille, qui n'a que 13 ans, le rejoint à Richmond avec sa mère. En 1847, Virginia décède à Fordham, à l'âge de 24 ans. Edgar, gravement malade, est soigné par Mrs Shew et Maria Clemm. En 1848, dans des circonstances assez obscures, il absorbe une forte dose de laudanum qui manque de l'empoisonner. De plus, il s'est mis à boire, lors de la maladie de Virginia, entre 1842 et 1847, et il est victime de crises d'éthylisme. Il souffre même un moment d'une attaque de paralysie faciale. En 1849, Edgar réapparaît, plus connu sous le nom de « Gunner's Hall », dans une taverne.
Le Dr Snodgrass et Henry Herring, l'oncle d'Edgar, viennent chercher l'écrivain, qu'ils présument ivre. D'après les différents témoignages, au lieu de son costume de laine noir, il portait un manteau et un pantalon d'alpaga de coupe médiocre, vieillis et salis, et dont les coutures avaient lâché en plusieurs points, ainsi qu'une paire de chaussures usées aux talons et un vieux chapeau tout déchiré, presque en lambeaux, en feuilles de palmier. La chemise était toute chiffonnée et souillée, et il n'avait ni gilet ni faux-col. Conduit au Washington College Hospital, il alterne entre des phases de conscience et d'inconscience. Aux questions qu'on lui pose, il répond par des phrases incohérentes. Edgar meurt, officiellement d'une « congestion cérébrale », le  dimanche 7 octobre 1849.
Plusieurs théories ont été émises pour expliquer la mort d'Edgar. On a prétendu, ainsi, qu'il serait mort des suites d'une trop grande consommation d'alcool. D'autres mettent en avant des ennuis de santé. En  1847, il avait été victime d'une longue maladie qui lui aurait causé une lésion au cerveau. De même, en  1848, le Dr John W. Francis aurait diagnostiqué une maladie du cœur, diagnostic qu'Edgar Poe aurait d'ailleurs rejeté. Enfin, dans ses lettres à Maria Clemm, il indique qu'il est malade, parlant d'une amélioration de son état. Parmi les maladies qui auraient pu causer sa mort, on a parlé de la tuberculose, de l'épilepsie, du diabète ou de la rage. Autre hypothèse mise en avant : il aurait retrouvé des anciens de West Point, qui l'auraient invité à boire. Rentrant seul, dans un état d'ivresse, il aurait été volé et battu par des brutes et aurait erré dans les rues pendant la nuit avant de sombrer, inconscient. Cependant, la théorie la plus largement admise est qu'il aurait été victime de la corruption et de la violence, qui sévissaient de manière notoire lors des élections. De fait, la ville était alors en pleine campagne électorale et des agents des deux camps parcouraient les rues, d’un bureau de vote à l’autre, pour faire boire aux naïfs un cocktail d’alcool et de  narcotiques afin de les traîner ainsi abasourdis au bureau de vote. Pour parfaire le stratagème, on changeait la tenue de la victime, qui pouvait être battue. Le faible cœur d'Edgar Poe n'aurait pas résisté à un tel traitement. L'alcoolisme de Poe a été démesurément exagéré, pour suggérer que sa vie aurait été une longue suite de beuveries et le disqualifier en tant qu'auteur. Son flirt avec l'alcool était intermittent ; s'il lui arrivait de boire plusieurs jours de suite, il pouvait ne pas toucher une goutte d'alcool pendant des mois ou des années.


Remonter Bourvil: Il passe son enfance avec sa mère et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Joseph Ménard. Les premiers films le cantonnent dans son personnage de benêt, mais il se rend progressivement compte qu'il doit le renouveler. Sa popularité commence en effet à baisser et il connaît son premier revers cuisant en 1951 : invité à se produire en vedette devant son public dans un gala au cirque de Rouen, il est sifflé par les Normands vexés de l'image de paysan nigaud qu'il donne d'eux. Après une longue agonie, Bourvil s'éteint à l'âge de 53 ans d'un cancer.


Remonter Adriana Karembeu: À sa naissance, ses parents, alors étudiants, la confient à ses grands-parents qui l’élèveront jusqu'à ses 5 ans. Puis elle retournera vivre avec ses parents, cependant elle avouera plus tard que son père était froid et distant avec elle et qu'il lui préférait sa sœur. Elle dira aussi qu'elle a toujours éprouvé une grande admiration pour sa mère.
En 1999, Adriana commence à soutenir la lutte contre les mines antipersonnelles. En 2000, elle aide la Croix-Rouge française dans sa campagne «Des gestes qui sauvent». Mariée au footballeur français Christian Karembeu, elle annonce leur séparation en 2011. Enceinte, Adriana Karembeu a été victime d'une fausse couche précoce si bien que le couple n'a pas eu d'enfant. Christian Karembeu déclare sur RTL : «Adriana annonce notre séparation».


Remonter Brigitte Bardot: Militante de la cause animale. Dès son jeune âge, une amblyopie, qui l'empêche de voir de son œil gauche, est diagnostiquée. Enfant dissipée qui souffre de la préférence de ses parents pour sa sœur Marie-Jeanne, il lui arrive alors souvent de se poser la question « Pourquoi je vis? ». Rencontre de Roger Vadim. Ses parents s'opposent à cette relation. Elle met sa tête dans le four de la cuisine, le gaz ouvert. Ses parents la trouvent dans le coma avec, à ses côtés, un petit mot expliquant son geste. Pour ses 18 ans, son père l’autorise à se marier avec Roger Vadim. La naissance de son fils Nicolas a lieu en 1960. Après un accouchement difficile, «à la limite du supportable», elle refuse de voir son enfant qui représente à ses yeux «...neuf mois de cauchemar. C'était un peu comme une tumeur qui s'était nourrie de moi, que j'avais portée dans ma chair tuméfiée, n'attendant que le moment béni où l'on m'en débarrasserait enfin». Elle dira même un jour : «J'aurais préféré accoucher d'un chien». [...] En 1960, le jour de son anniversaire, elle boit du champagne et à chaque gorgée, avale un comprimé d'Imménoctal. Déterminée à mourir, la jeune femme sort et erre dans la campagne. Arrivée près d'une bergerie: «Je m'assis par terre, enfonçais de toutes mes forces la lame d'acier dans mes deux poignets, l'un après l'autre. Ça ne faisait absolument pas mal. Le sang coulait à flots de mes veines. Je m'allongeai, regardai les étoiles au milieu des moutons. J'étais sereine, j'allais me dissoudre dans cette terre que j'ai toujours aimée». Elle est retrouvée par un enfant, l'ambulance l'emmène aux urgences. C'est à l'hôpital de Nice que, 48 heures plus tard, elle reprend connaissance, pieds et poings liés à la table de réanimation, des tuyaux traversant son corps de part en part. « Chaque seconde où je reprenais conscience était un martyre de douleur. Mon retour sur cette terre fut un cauchemar. Prise pour une folle par les médecins, ceux-ci me confièrent à des psychiatres. J'eus droit à une camisole de force! » Sa tentative de suicide fait les gros titres des journaux de France Dimanche à Ici Paris qui la tournent en dérision « ayant eu l'effronterie de ne pas en mourir ». À sa sortie, elle doit faire face à la réaction du public. Une lettre anonyme lui tombe dans les mains : « La prochaine fois, jetez-vous du 7e étage. Ça fera une salope de moins sur terre ». Sa convalescence se passe à Saint-Tropez où sa mère ne la laisse jamais seule. [...] La dernière image du dernier plan de son dernier film, le 48e de sa carrière, la montre une colombe à la main, symbole de sa vie future consacrée aux animaux. En 1973, elle se fait le serment que son nom, sa gloire, sa fortune et sa force lui serviront à les aider jusqu'à sa mort, à se battre pour eux, à les venger, à les aimer et à les faire aimer. [...] En 1984, Brigitte Bardot apprend qu'elle est atteinte d'un cancer du sein. Elle refuse de se faire soigner, pensant qu'il s'agit de son destin, et part vivre à Saint-Tropez. Là, son amie, l'actrice Marina Vlady réussit à la convaincre de commencer un traitement qui se termine par sa totale guérison. «Rien n'est jamais à refaire... Mais tout reste à faire».  «J'ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes. Que je donne ma sagesse et mon expérience et le meilleur de moi-même aux animaux». Afin d'augmenter le capital de sa fondation, elle fait don à cette dernière de sa propriété La Madrague, qui est finalement déclarée d'utilité publique par le Conseil d’État en 1992. La même année, grâce aux donations, elle fait l’acquisition dans l'Eure d’un domaine de 8 hectares, La Mare Auzou, afin d’y créer un refuge pour les animaux. [...] Brigitte Bardot a été condamnée pour incitation à la haine raciale à cinq reprises, pour ses critiques envers l'immigration, l'abattage rituel des animaux, le métissage, certains aspects de l'homosexualité ou encore l'islam en France.


Remonter Toulouse-Lautrec : Son frère cadet meurt un an après sa naissance. L'incompatibilité d'humeur entre ses parents entraîna leur séparation et Henri resta sous la garde de sa mère. [...] Henri de Toulouse-Lautrec eut une enfance heureuse jusqu'au moment où se révéla en 1874 une maladie qui affectait le développement des os, la pycnodysostose. Il s'agit d'une maladie génétique, ses parents étant cousins germains. Ses os étaient fragiles et, en 1878, il souffrit d'une fracture du fémur bilatérale, ce qui aggrava son retard de croissance : il ne dépassa pas la taille de 1,52 m. [...] Il fut alcoolique pendant la plus grande partie de sa vie d’adulte. En effet, il avait coutume de mélanger à son absinthe quotidienne du cognac, au mépris des convenances de l'époque. Il utilisa notamment le subterfuge d'une canne creuse pour cacher une réserve d'alcool. Il entra dans un sanatorium peu avant sa mort, à la suite de complications dues à l’alcoolisme et à la syphilis, à près de 37 ans.


Remonter Marilyn Monroe: Pendant une très longue période, la mère de Marilyn ne peut pas s'occuper de sa fille, qui est confiée, entre autres, à des familles d'accueil. Marilyn préfère prétendre longtemps que sa mère est morte, plutôt que d'avouer qu'elle vit dans un institut spécialisé. Elle est ainsi confiée pendant les sept premières années de sa vie à Albert et Ida Bolender, voisins de sa grand-mère Della. Dans son autobiographie, Marilyn mentionne qu'elle ne savait pas qui était « cette dame rousse » (sa mère) qui lui rendait visite de temps en temps pendant cette période. En 1933, elle peut vivre quelque temps avec sa mère, qui loue une chambre chez les Atkinson, à Hollywood, mais celle-ci est internée l'année suivante à la suite d'une nouvelle crise d'hystérie. [...] Absente des écrans en 1958, elle vit désormais avec Arthur Miller et subit une fausse couche en août 1957. Elle fera une seconde fausse couche en décembre 1958. [...] En 1960, elle se remet à prendre des somnifères et de l'alcool, et en devient de plus en plus dépendante. Elle divorce d'avec Arthur Miller en janvier 1961, et rédige son testament. Elle accepte que sa psychanalyste la fasse interner dans la clinique psychiatrique Payne Whitney, mais elle y est placée en cellule de sécurité. Elle a plus tard décrit l'expérience comme un «cauchemar». [...] En 1962, lors de la cérémonie des Golden Globes, accompagnée du scénariste José Bolanos, elle est ivre et reçoit son prix des mains de Rock Hudson en titubant et peinant à bafouiller quelques remerciements devant la salle atterrée. [...] Fin juillet 1962, déprimée, elle confie à sa coiffeuse qu'elle vient de subir un avortement. Au moins deux médecins lui ont prescrit de nombreuses ordonnances pour des somnifères la dernière semaine de sa vie. Certains témoignages la décrivent sous l'influence de tranquillisants. Le 4 août, à 19h45, elle a encore une conversation téléphonique avec Lawford, où elle semble déprimée et confuse. Il rappelle un peu plus tard mais la ligne est en dérangement. Il passe plusieurs appels à des proches pour la joindre tout de même. Eunice Murray, la gouvernante engagée à la demande du docteur Greenson, indique que tout va bien : il est alors 20h30. A ce moment, elle est déjà morte ou en train de mourir de surdosage.


Remonter Demi Moore: Peu avant sa naissance, son père biologique quitte sa mère au terme d'un mariage de deux mois. Elle a trois mois quand sa mère épouse Dan Guynes. La famille déménage de nombreuses fois. Demi Moore déclare en 1991 : « Mon père était Dan Guynes. Il m'a élevée. Je n'ai pas vraiment de relation avec celui qui est mon père biologique ». Demi découvre son existence à treize ans. Deux ans après avoir divorcé, en 1980, Dan Guynes se suicide. La mère de Demi, Virginia Guynes, a un casier judiciaire pour conduite en état d'ivresse et pyromanie. Demi rompt contact avec elle en 1990 quand elle s'échappe d'une cure que Demi lui avait payée. Plus tard, sa mère l’embarrasse à nouveau en posant nue pour le magazine High Society, où elle parodiait la couverture controversée de Demi pour le Vanity Fair mettant en scène sa grossesse et sa scène d'amour mythique dans le film Ghost. Demi et sa mère se sont brièvement réconciliées peu avant que celle-ci ne décède d'un cancer en juillet 1998, à 54 ans. [...] Après une dérive dans la drogue, elle suit une courte cure de désintoxication. [...] À 16 ans, pour fuir l'ambiance familiale, Demi saisit la première occasion pour fuir sa famille. Elle est d'abord pin-up pour des magazines de charme. À 19 ans, après de nombreux castings, elle décroche un rôle récurrent dans le feuilleton Hôpital central. L'argent aidant, la toute jeune actrice s'adonne à la drogue, jusqu'au moment où Joel Schumacher, excédé, la renvoie du plateau de St. Elmo's Fire. Après une cure de désintoxication, déterminée à enfin se bâtir une carrière digne de ce nom, Demi choisit alors ses rôles avec soin. [...] Tout en cherchant à se débarrasser de sa dépendance pour la cocaïne, Demi Moore donne à deux reprises la réplique à Rob Lowe dans les romances St. Elmo's Fire et À propos d'hier soir.... 1998 reste une année noire pour Demi Moore. Sa mère décède et sa séparation d'avec Bruce Willis défraye la chronique. 


Remonter Billie Holiday: Elle naît en 1915, alors que sa mère, Sadie Fagan, a 15 ans et son père, Clarence Holiday, 17 ans. Clarence et Sadie ne se sont jamais mariés. Son père ne reconnaît pas Billie, il est guitariste de jazz, et passe sa vie dans les clubs la nuit, sur les routes le jour. Sa mère, aide-ménagère et cuisinière qui se prostitue à l'occasion, ne s'occupe pas de sa fille qui est ballotée entre tantes et cousines et est placée dans des maisons de redressement pour jeunes noirs où elle connaît le viol et la violence. Sa mère la fait venir à New York en 1928. Billie commence à faire des ménages dans un bordel de Harlem où elle chante à l'occasion mais finit comme sa mère par se prostituer. Elle est arrêtée, passe quelques mois à la prison de Welfare Island. [...] A la fin des années 30, on la voit boire de plus en plus, et fumer de la marijuana. C'est à cette époque aussi qu'elle enchaîne des liaisons féminines et qu'on la surnomme «Mister Holiday». [...] Elle entame une liaison avec Jimmy Monroe, pour qui elle quitte le domicile de sa mère, avant qu'ils ne se marient précipitamment. Son nouveau compagnon est un escroc, doublé d'un drogué. Il l'habitue à l'opium, puis à la cocaïne, avant de se retrouver en prison. Billie Holiday divorce de Monroe et enchaîne de nouveau les aventures, jusqu'à sa rencontre avec Joe Guy, un trompettiste bebop qui la fournit en héroïne. À l'époque même où elle est la première artiste noire à chanter au Metropolitan Opera, où elle signe un contrat en or chez Decca, elle se retrouve sous la coupe de Joe Guy, dépendante à l'héroïne… Dans les clubs, il se murmure qu'elle ne respecte pas ses engagements, qu'elle est souvent en retard, qu'elle se trompe dans les paroles. En 1945, Joe Guy monte une grande tournée pour Billie : Billie Holiday and Her Orchestra. La tournée est déjà bien entamée lorsque Billie apprend la mort de sa mère Sadie. Billie est effondrée, elle sombre dans la dépression, elle se réfugie un peu plus dans l'alcool, la drogue, et écourte sa tournée. En 1946, elle renoue avec Joe Guy et adopte le LSD. Au début de 1947, son imprésario Joe Glaser lui impose une cure de désintoxication dans une clinique privée, en vain ; quelques semaines plus tard elle est arrêtée en possession de stupéfiants et condamnée à un an de prison. Elle fait un scandale, sa situation financière est catastrophique : ses royalties ont disparu dans la drogue et les poches des hommes qui l'entourent… Elle sort de prison pour bonne conduite, mais elle est ruinée. Puis, au Carnegie Hall, plus belle que jamais, la voix épanouie, ses éternels gardénias dans les cheveux, elle chante jusqu'à l'épuisement vingt et une chansons, plus six autres pour les rappels et c'est un triomphe. Lors d'un enregistrement en 1949 pour Decca, elle a du mal à tenir le rythme, elle se fait remarquer par ses retards, ses excès, une diction de plus en plus empâtée par l'alcool. [...] En 1956, Billie Holiday est arrêtée en possession de drogue : un nouveau procès se profile. Elle effectue une nouvelle cure de désintoxication. La santé de Billie se dégrade de plus en plus. Sa nouvelle pianiste témoignera plus tard du calvaire de Billie : son épuisement, les ravages de la drogue et de l'alcool, les longues manches pour cacher les traces de piqûres qui lui couvrent même les mains, la fatigue, la perte de poids, l'ivresse avant les concerts. Françoise Sagan écrira : « C'était Billie Holiday et ce n'était pas elle, elle avait maigri, elle avait vieilli, sur ses bras se rapprochaient les traces de piqûres. […] Elle chantait les yeux baissés, elle sautait un couplet. Elle se tenait au piano comme à un bastingage par une mer démontée. Les gens qui étaient là l'applaudirent fréquemment, ce qui lui fit jeter vers eux un regard à la fois ironique et apitoyé, un regard féroce en fait à son propre égard. » Malade depuis plusieurs années déjà, Billie Holiday a des œdèmes aux jambes, et surtout une cirrhose avancée. Pourtant elle ne modère pas ses excès. Elle boit du matin au soir. Billie apprend en 1959 le décès de son ami, Lester Young. Elle est effondrée. Le 7 avril suivant, elle fête ses 44 ans. Elle assure des engagements dans le Massachusetts, puis elle chante à New York, pour un concert de bienfaisance. Dans les coulisses, ses amis ne la reconnaissent pas. Certains veulent la faire hospitaliser : elle refuse. Tombée chez elle, elle est admise au Metropolitan Hospital de Harlem. Outre sa cirrhose, on décèle une insuffisance rénale. Traitée à la méthadone, elle se remet peu à peu. On lui interdit l'alcool et la cigarette, mais elle trouve toujours un moyen de fumer en cachette. Quand on découvre un peu de poudre blanche cachée dans une boîte de mouchoirs, Billie Holiday est arrêtée et sa chambre mise sous surveillance policière pendant plusieurs jours. On prévoit de la juger après sa convalescence. Celle-ci semble se passer au mieux, mais son état s'aggrave avec une infection rénale et une congestion pulmonaire. Elle reçoit les derniers sacrements le 15 juillet. Le 17 juillet, à trois heures dix du matin, Billie Holiday meurt à l'hôpital.


Remonter Nastassja Kinski: En 2013, sa sœur Pola dénonce les agressions sexuelles de la part de leur père Klaus Kinski, et Nastassja à son tour déclare qu'il la touchait, et était terrorisée par ses crises de colère.


Remonter Lino Ventura: Il est âgé de sept ans lorsqu'il quitte l'Italie de Benito Mussolini avec sa mère pour échapper au fascisme et rejoindre son père parti travailler comme représentant de commerce à Paris quelques années auparavant. Mais arrivés à Montreuil en 1927, la mère et le fils ne trouveront pas Giovanni. Le père a disparu. Il évoquera rarement ce père absent. Lino et sa mère s'installent chez des amis, au cœur de la communauté italienne dont l'intégration ne s’effectue pas sans problèmes, comme le prouvent certaines insultes telle que « Macaroni ». Puis ils s'installent dans le 9e arrondissement de Paris où sa mère a décroché un emploi de femme de chambre.


Remonter Maurice Chevalier: Alors qu'il est encore très jeune, son père, ivre, quitte le domicile familial après une ultime scène, abandonnant sa femme et ses trois enfants pour vivre seul au Pré-Saint-Gervais. L'aîné de la famille, Charles, décide d'assumer le rôle de chef de famille mais se fait vite tyrannique. Il va jusqu'à frapper Maurice Chevalier, chose que ce dernier ne lui pardonnera jamais.


Remonter Amy Winehouse: Amy Winehouse et ses relations avec les produits stupéfiants ont fait l'objet d'une grande attention des médias. Dans diverses interviews, elle admet avoir des problèmes avec la drogue, ainsi que des problèmes de dépression et de trouble alimentaire (boulimie). En août 2007, Amy Winehouse annule un certain nombre de spectacles en évoquant son épuisement et sa mauvaise santé. Elle est hospitalisée au cours de cette période pour ce qui est rapporté comme une overdose d'héroïne, d'ecstasy, de cocaïne, de kétamine et d'alcool. Peu de temps après, Amy Winehouse et son mari sont photographiés, ensanglantés et meurtris, dans les rues de Londres après une possible lutte. La chanteuse soutient s'être fait elle-même ses blessures. Fin janvier 2008, Amy Winehouse entre dans un établissement de désintoxication pour une période de deux semaines de traitement. À partir de 2009, la chanteuse, en cure de repos sur l'île de Sainte-Lucie, semble avoir arrêté toute consommation de drogue dure, bien que sa consommation d'alcool reste forte. [...] Les médecins ont averti Amy que la poursuite de consommation de crack se traduirait par le port obligatoire d'un masque à oxygène et lui serait fatale. Le 23 juillet 2011, la chanteuse est retrouvée morte dans son appartement à Londres. L'autopsie pratiquée pour connaître les causes de sa mort révèle une overdose d'alcool (alcoolémie de 4,16 grammes par litre de sang). La chanteuse, qui luttait contre sa toxicodépendance et ses troubles alimentaires, et à qui les médecins avaient demandé d'arrêter de fréquenter les soirées « binge drinking », sortait alors d'une période de sevrage d'alcool de trois semaines. La reprise d'une consommation importante lui a donc été fatale.


Remonter Mariah Carey: Selon les biographies « officielles », elle aurait eu une enfance difficile et douloureuse. En effet, installée avec sa famille dans un quartier blanc (chaque communauté vivant séparément aux États-Unis), elle doit faire face au racisme et à la haine de certains membres de cette communauté qui voient alors d'un mauvais œil le mariage de sa mère avec un homme noir. La grand-mère de sa mère reniera même cette dernière à la suite de ce mariage. Ses parents, n'ayant plus les ressources intérieures pour supporter davantage cette vie, divorcent alors qu'elle n'a que trois ans : Alison et son frère partent vivre avec leur père, tandis que Mariah reste seule avec sa mère.


Remonter Arielle Dombasle: Après avoir perdu leur mère, âgée de 34 ans, en 1964, Arielle et son frère ainé Gilbert sont élevés par leur grand-mère maternelle dans le Midi de la France durant un an.


Remonter Claude François: L'enfance de Claude se passe dans une des belles villas de la Compagnie du canal de Suez à Ismaïlia. Sa famille, qui a des domestiques, mène un train de vie très aisé. Cependant, durant la Seconde Guerre mondiale, Ismaïlia est bombardée par les Allemands et la villa de la famille François est détruite. Le jeune Claude et sa sœur sont alors recueillis par leur grand-mère paternelle qui habite une vieille maison proche des quartiers populaires : Claude s'y mêle aux jeunes enfants d'origines diverses (grecs, maltais, italiens, arabes). [..] En 1956, la famille François est expulsée d’Égypte à la suite de la nationalisation du canal de Suez par le président égyptien Nasser. Sur fond d'un déchaînement soudain d'hostilité envers les étrangers occidentaux, le départ d'Égypte s'effectue en catastrophe sous les coups, les crachats, les injures, les humiliations (la mise à nu lors du passage à la douane) et les jets de pierres. Après un séjour dans une chambre d'hôtel, les François, fatigués de quémander quelques subsides auprès de la Compagnie du canal de Suez, partent en train pour Monte-Carlo où réside, depuis son mariage l'été précédent, leur fille Josette. Ruinée, la famille s’installe d'abord à Monaco dans un appartement acquis grâce à la prime de réinstallation donnée par la Compagnie du canal de Suez, puis à Nice. Ils vivent dans une certaine pauvreté : Claude dort par terre sur le sol de l'appartement, vole à l'étalage, se nourrit de pain trempé dans de la vinaigrette, ce qui lui cause un ulcère à l'estomac et l'exempte du service militaire. [...] En 1973, une dépendance de sa propriété de Dannemois est la proie d’un incendie. Sont présents sa compagne et leurs deux enfants. Grâce à l'intervention des jeunes du village, tous les occupants sont évacués. Claude, qui est en tournée, ne se rendra compte des dégâts que quelques jours plus tard. En 1975, il est la victime collatérale d’un attentat à l’hôtel Hilton de Londres, revendiqué par l'IRA et qui fait deux morts et 63 blessés. Il doit la vie à une cliente qui, étant devant lui, le protège involontairement de la déflagration d’une première bombe cachée sous une table. Il en réchappe, mais avec les deux tympans crevés.


Remonter Ingrid Bergman: Ingrid Bergman naît le 29 août 1915 à Stockholm. Sa mère avait perdu auparavant un premier enfant mort-né et un deuxième décédé sept jours après sa naissance. Elle meurt d'une jaunisse lorsque Ingrid a tout juste trois ans. Son père élève sa fille seul et meurt d'un cancer en 1929 : elle a alors quatorze ans. Elle est ensuite confiée à l'une de ses tantes, puis passe son adolescence chez un de ses oncles.


Remonter Marie Laforêt: Pendant la guerre, son père est détenu comme prisonnier de guerre en Allemagne et Marie, sa sœur Alexandra et leur mère connaissent beaucoup de privations. À trois ans, selon les révélations ultérieures de la chanteuse, elle subit par un voisin un traumatisme sexuel sévère, dont les souvenirs la marqueront pour longtemps. [...] Après s'être rapprochée de la religion et avoir réfléchi un temps sur l'idée d'aller au couvent, elle suit à Paris des études au lycée Jean-de-La Fontaine, où elle commence à éprouver un intérêt vif pour ses premières expériences du jeu dramatique, qui ont pour elle un bénéfique effet cathartique.


Remonter Yul Brynner: Très mystérieux sur ses origines, Yul Brynner a rendu son existence encore plus exotique qu'elle ne l'a été. Il a souvent prétendu s’appeler Taidje Khan, être mi-japonais, mi-suisse, et être né sur l’île de Sakhaline en 1920. Parfois, il prétendait être originaire d'une famille gitane de l'île de Sakhaline. En France, durant les années 1930, on pouvait d'ailleurs l'entendre jouer des morceaux tziganes. Au moment de sa mort, on ignorait la vérité, elle ne sera dévoilée que des années plus tard par son fils Rock Brynner. Aujourd'hui encore, son année de naissance est sujette à débat. Yul Brynner a déclaré parler 11 langues dont l'anglais, le russe, le français, le hongrois, le japonais, l'hébreu et le yiddish.


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