Remarque: L’ajout de fines herbes aux aliments, de façon régulière et significative, permet de contribuer, ne serait-ce que de façon minime, à l’apport en antioxydants de l’alimentation. Par contre, la consommation de fines herbes à elle seule ne peut répondre aux besoins en antioxydants du corps.
Le basilic porte aussi les noms d’« herbe royale », d’« oranger des savetiers », d’« herbe aux sauces », de « pistou », ce dernier mot, d'origine provençale, signifiant « broyer, piler », tout comme pesto d'ailleurs, son équivalent italien.
Recommandé pour les personnes en fatigue chronique.
Endrocrino-régulateur : permet de stabiliser tout le système endocrinien, d’apporter repos, quiétude, bien-être, aux personnes en perturbation thyroïdienne.
Le principal antioxydant retrouvé dans les feuilles de basilic est l’acide rosmarinique. Ce dernier agirait de façon synergique avec la vitamine E, ce qui signifie que l’action antioxydante combinée de ces deux composés serait supérieure à l’addition de leur action antioxydante individuelle.
D’autres acides phénoliques et des flavonoïdes qui possèdent des propriétés antioxydantes se retrouvent également dans le basilic.
Vitamine K. Le basilic séché est une excellente source de vitamine K, tandis que le basilic frais en est une source. Cette vitamine est nécessaire pour la fabrication de protéines participant à la coagulation du sang (autant dans la stimulation que dans l’inhibition de la coagulation sanguine). Elle joue aussi un rôle dans la formation des os. En plus d’être retrouvée dans l’alimentation, la vitamine K est fabriquée par les bactéries présentes dans l’intestin, d’où la rareté des carences en cette vitamine.
Fer. Une portion de basilic séché est une source de fer pour l'homme, mais pas pour la femme, car leur besoin respectif en fer est différent. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs.
Le basilic peut-être utilisé en usage interne (infusion) ou externe (décoction).
Infusion : 3 à 5 grammes par tasse après chaque repas. Contre les spasmes, comme digestif et calmant.
Décoction : 100 grammes par litre, en gargarismes contre les aphtes. Autre alternatives : mâcher les feuilles crues du basilic.